Je pleure comme tombe les gouttes de pluie.
Face au monde perdu, l’issue est l’oublie.
Rageant d’une folie sans pareil en Enfer,
Je me nourris vilement du rouge, du noir.
Dans la planitude de vie...je perd l’espoir.
Cauchemar ou réalité tels colère...
Mon lugubre chemin peuplé de sombres vices
Me raproche sans cesse de la douce mort...
Les hurlements que je pullule lentement,
Montrent mon ame en sanglots de l’agonie...
Je demande pourquoi suis-je toujours en vie ?
Le froid glacé de l’envie rend mon corps tremblant.
Mon esprit criant à la folie du méchant,
Car dans la souffrance et l’ennuie, seul, je glisse...
Le suicide me condamnant à la vision
Maléfique de mes peurs en répétition.
Je suis enchainé aux vivants si perturbés,
Univers imparfait, l’image du damné...
L’Ange et le démon se refletent en moi,
L’un dans l’apparance et l’autre pour toi...