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Le Haka
10/09/2007 12:14
Le Ka mate est le Haka qui est le plus souvent utilisé par l'équipe des All Blacks (équipe nationale de rugby de Nouvelle-Zélande). Ce Haka de Te Rauparaha est sans doute le plus connu de tous les hakas.
Origines [modifier]
On raconte que, vers 1820, Le chef maori Te Rauparaha venait d'échapper à une tribu ennemie, le Ngati Tuwharetoa. Les guerriers du Ngati Tuwharetoa approchaient. Te Rauparaha entendait déjà leurs incantations, quand il rencontra Te Wharerangi, chef de la région Rotoaira, et lui demanda sa protection. Te Whareangi, d'abord hésitant, permit finalement à Te Rauparaha de se cacher dans son "kumara pit", un genre de fosse où les Māoris stockaient leurs kumaras (patates douces).
La tribu ennemie se rapprochait encore et Te Rauparaha, bien que caché au fond de la fosse, était certain d'être découvert et tué ; il se répétait tout bas « je meurs, je meurs ».
Quand il se rendit compte que ses ennemis ne l'avaient pas trouvé, Te Rauparaha se mit à crier "Ka Ora, Ka Ora ! je vis, je vis ! L'homme « poilu » qui est allé chercher le soleil l'a fait briller à nouveau ! Le soleil brille". (Te Rauparaha parlait de Te Wharerangi, qui était célèbre pour son corps très velu.)
Littéralement , "Upane" veut dire « marches ». Peut-être Te Rauparaha criait-il "upane" à chaque marche gravie pendant son retour vers le grand soleil et la liberté. Une fois sorti de la fosse, Te Rauparaha aurait dansé son Haka de joie devant les deux chefs, Te Wharerangi et Te Rangikoaea.
Les paroles [modifier]
Voici les paroles du Ka mate en maori et en français :
Ringa pakia ! Uma tiraha ! Turi whatia ! Hope whai ake ! Waewae takahia kia kino ! Ka mate ! Ka mate ! Ka ora ! Ka ora ! Ka mate ! Ka mate ! Ka ora ! Ka ora ! Tenei te tangata puhuru huru Nana nei i tiki mai, Whakawhiti te ra A upane ! ka upane ! A upane ! ka upane ! Whiti te ra ! Hi !
Tapez les mains contre les cuisses ! Soufflez ! Pliez les genoux ! Laissez la hanche suivre ! Tapez des pieds aussi fort que vous pouvez ! Je meurs ! je meurs ! je vis ! je vis ! Je meurs ! je meurs ! je vis ! je vis ! Voici l'homme poilu Qui est allé chercher le soleil Et l´a fait briller à nouveau ! Un pas ! Un autre pas ! Un pas ! Un autre pas ! Le soleil brille !
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Suite 17 : Le départ de Slipk
08/09/2007 01:03
- Togo nos pertes sont lourdes, nous sommes allés combattre ces vampires à l’aveugle sans véritable stratégie. Nous avons fait l’inventaire des pertes, plus de trente cinq loups sont mort ! - Oui je sais tout cela Slipk. Mais on a donné allégeance à l’alliance lycan lui répondit il calmement. Et notre plan d’action a été voté presque à l’unanimité. Notre chef et son lieutenant étaient partis à l’écart de la meute au bord du gigantesque lac Balaton. La brise fraîche de l’aurore glissait sans résistance sur l’étendue d’eau. Les premiers rayons du soleil apparurent faisant plisser les yeux de Togo qui regardait ce magnifique paysage hongrois. - Et nous devons nous diriger à Odessa, car nous… - Nous le devons, ou tu le dois ? Tu veux nous obliger à aller là bas pour ta soi disant quête. Si vraiment c’est le cas Togo, ton égoïsme me fait vomir ! Lui cria Slipk. Le brave second perdit son sang froid. Son regard rempli de colère fixait fermement l’homme qui se tenait devant lui. - Je ne force personne. Pour l’instant, nous suivons nos alliés en direction d’une ville fluviale roumaine du nom d’Oradea pour combattre nos pires ennemies, les Hellsings. Slipk ne tenait plus en place, il tournait en rond en écoutant son chef. Brusquement, il s’arrêta en entendant le nom des Hellsings. - Comment ? Vous voulez aller combattre ce puissant clan vampires. Mais nous serons en plein cœur de la Transylvanie, la région grouille de suceurs de sang et tu sais éperdument que nous ne sommes pas assez nombreux pour nous battre contre eux. De plus leurs ruses ont mis les humains sous leur coupe, et même s’ils sont faibles, ils pourraient nous poser pas mal d’ennuis. Slipk reprit sa marche de va et vient, il avait l’air de plus en plus agacé par l’annonce de cette nouvelle. - Je suis opposé à tout cela. Je ne veux pas vous suivre dans cette quête, je ne me sens plus à ma place dans cette meute je préfère vous quitter et vivre ma vie en solitaire dit il d’un ton amer. Sans rien rajouter, notre jeune lieutenant fit volte face et sans se retourner Slipk disparut dans les fourrés qui bordaient le lac. Immobile, Togo le regarda silencieusement, aucuns mots ne sortirent de sa bouche pour essayer de le dissuader de rester dans la meute, il avait trop de respect pour protester sur sa décision. De cette aurore claire et fraîche, les purificateurs venaient de perdre un brave soldat et surtout un très bon ami.
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Suite 16 : L'ombre arrive sur terre
04/09/2007 13:52
Dans la petite ruelle, deux enfants s’amusaient à chahuter un jeune chien errant, le poussant du pied et s’aidant de bâton pour lui taper sur les pattes. Ils avaient tous juste six ans et prenaient du plaisir à tabasser le pauvre animal. - Hélias, Bertok venaient tout de suite et laissez tranquille cette animal rugit Wolbritch. Sa peau était blanchâtre, ses long cheveux crasseux lui tombés devant les yeux lui donnant un aire effrayant. Et maintenant rentrez tout de suite à la maison ! Les gamins stoppèrent leur méfait et simultanément se retournèrent devant leur interlocuteur. Leurs visages se ressemblaient comme un reflet dans un miroir. Et d’un sourire méchant ils lui répondirent : - Oui père, nous arrivons tout de suite. Ils rentrèrent en courant dans la maison en passant devant Wolbritch qui les attendait devant le seuil de la porte. Andréa posa sur la table une grosse marmite toute fumante. - Encore de la soupe souffla Hélias. - Tu arrêtes de bouder et tu vas manger sans histoire lui rétorqua sa mère. - Mais je n’aime pas ça… - Oui, c’est vrai lui coupa son frère nous voulons de la viande. De la chair bien rouge ! Bertok poussa violemment l’assiette remplit de soupe que Andréa venait de lui servir. Le liquide brûlant s’étala sur la table et commença à couler sur le sol. Furieuse, elle fit le tour de la table et lui flanqua une gifle qui le fit tomber de sa chaise. Se tenant la joue, il se releva, la tête basse Bertok resta immobile devant se génitrice. Hélias sauta de son siège pour s’interposer entre son frère et sa mère furieuse. - Va te rassoire, toi et n’y bouge plus cria t’elle. Andréa ne pût plus contenir sa colère en voyant ces fils se mutiner contre elle. Wolbritch resta silencieux regardant la scène du coin de l’œil, une cueillere de soupe à la bouche. Ne voyant aucune aide arriver de son marie, elle le foudroya du regard, mais elle dut l’ignorer rapidement car elle ressentit une horrible douleur au front. Hélias venait de lui lancer son verre au visage. Le choc la fit chanceler, sa vision se brouilla par le sang qui lui coulait sur l’œil gauche. Elle s’écroula à terre encore consciente au pied de Bertok. Elle regarda son jeune garçon. Ses yeux étaient devenus bleu très clair presque blanc. De la bave coulait de sa bouche, son petit corps fût pris de convulsions. Son visage angélique se déforma, à la place de son nez, un museau commença à pousser. Des poils bruns, partout sur son corps apparurent. - Maman, Bertok et moi nous avons faim ! La jeune femme dévisagea son autre fils, mais qu’elle fut son effroi à la vision d’Hélios qui la regardait avec envi de ses yeux rouges phosphorescents. Sa dentition n’était plus que des pointes acérées et tranchantes.
Les deux petits monstres purent enfin se délecter de viande, de chair humaine, celle de leur mère.
Enfin, j’attendais ce jour avec impatience. Ils sont maintenant prêts à partir avec moi pour créer l’armée noire de notre déesse Virmes pensa t’il.
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Suite 15 : Comme une famille...
03/09/2007 11:44
La pleine lune éclairait la vallée de sa lumière laiteuse, ses rayons décuplaient notre force physique à son contact. Je fixais le corps assis mais sans vie d’un suceur de sang qui se trouvait près de moi. Sa gorge avait été arrachée, son sang se répandait sur ses vêtements en soie, sa tête reposait sur son torse, j’avais l’impression qu’il faisait une sieste. Une très longue sieste…
Une main se posa sur mon épaule, se qui me sortit de mes pensées. Togo se tenait derrière moi et laissant celle ci, il me dit : - Tu sais Odog, notre vie ne sera que migration et bataille. Il n’avait plus son sourire si chaleureux qu’il avait l’habitude d’avoir pour nous remonter le moral. Comme si son humanité avait disparu pendant la bataille. Je veux avoir un but à donner à mes hommes et amis, un but qui changerait nos vies à tous, mais avant, nous sommes obliger de passer par là. Car ils nous laisseront jamais tranquille, leur but est de nous faire disparaître de cette terre. Un génocide qu’il nous faut enrailler. Je posa ma patte sur la sienne, le regarda droit dans ses yeux noir charbon. - Tu m’as trouvé et présenté à ton clan. Vous m’avez accueilli avec tant de gentillesse, je vous considère comme ma famille adoptive. Je donnerai même ma vie pour t’aider à accomplir ta mission. S’il faut tuer, je le ferai, car tu es bon et je pense que tu choisiras les meilleures décisions pour la meute. Ne disant mots, il soutint mon regard, sa main toujours posait sur mon épaule. Un sourire s’afficha, lui faisant apparaître ses dents longues et tranchantes. - Mon cher ami, tu es l’un de mes plus hardis membres. Je suis fière que tu te battes à nos cotés et j’espère que l’on sera ensemble quand le jour de notre liberté arrivera.
Les râles des blessés déchiraient le silence qui s’était installé sur la contré, une odeur de chaire brûlée, de sang et de métal survolaient l’endroit. Les lycans valides, qui pour la plus part avez repris forme humaine, aidaient leurs confrères bléssés à se faire soigner. Même si notre race pouvait très rapidement se régénérer après de très graves blessures, nos corps ne pouvaient rien contre les coups occasionnés par des armes ou des objets en alliage d’argent. Pipchips était adossée contre un mur, sa jambe droite portait une large entaille qui lui longeait toute la longueur de la cuisse. Elle maintenait celle-ci de ses fines mains, son visage levé au ciel. Des larmes de douleurs lui coulaient le long de ses joues salies par le sang et la terre. Talnar était à genou près d’elle, les paumes appuyées sur la large plaie bâillante. Une aura bleutée émanait de celles-ci, se diffusant sur la jambe de son amie. La déchirure des chairs commença à se résorber, le sang qui sortait de son membre repartait en sens inverse jusqu’à que l’épiderme résorba totalement l’entaille. Elle ne put contenir sa joie quand la plaie et la douleur avaient totalement disparues comme un mauvais souvenir. Elle étreignit le magicien. - Oh Talnar comment te remercier ? Je te serai redevable. Il rougit par cet excès de zelle, mais se laissant faire sous l’étreinte de celle-ci, il lui répondit avec difficulté : - Se n’est… rien. Mais, tu peux… arrêter de me serrer si fort. Je n’arrive plus à respirer. Même après ta blessure, tu as toujours autant de force. - Oups ! Pardon mon cher Talnar.
Elle le libéra de son emprise, tous deux rirent au éclat. Une once de joie et de gaieté perça cette atmosphère lourde d’après combat.
Assis sur la bordure de la fontaine centrale du village, je pris de mon sac à dos, le précieux ouvrage couleur sang enveloppé de son étoffe noir. Je fis glisser le tissu délicatement puis j’ouvris le livre là où j’avais au par avant laissé le ruban doré qui faisait office de marque page.
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Fuck the society
28/08/2007 12:51
J'emmerde cette société de consommation, cette esprit où si tu n'as pas d'argent, on te marche dessus. Plus tu as de l'argent et plus on te respect ! Pourtant se n'est que matériel ! Mais bon de nos jours on s'en fout !!! Pourquoi notre mentalité pourri comme un vieux fruit à cause de la maille ? j'en ai marre, juste un explemple : J'ai eu envi avec mon amie d'acheter un appartement, ( vers chez moi s'est très cher ) on commence à faire les papiers, la propriétaire nous autorise à y bricoler un peu, et là on voit derriere le faux plafond la tuyauterie de la voisine du dessus avec des énormes trous !!!!!!!!!!!!!!!!! Cette découverte va nous faire exploser notre budjet ! Alors on veux essayer de se retracter on ne peut pas amortir ces travaux de ce vice caché ! Et la propriétaire nous dit : " Si vous arrétez la vente, je vous attaque en justice !!!! Et je vais vous réclamer 30000E !!! Mais on a à peine le 1/3 de cette somme !!! Et moi à la base je voulais juste acheter un appart... Et je vais peut etre même pas l'avoir et en plus je devrais payer cette P....E cette somme represente 1,5ans de salaire net !!!!! Putain je suis vénère !!!!!!!!!!! J'en ai marre !!!! Des lois qui nous couvre pas quand on a besoin d'elle !!!!!!!!
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